6 techniques d’entretien éprouvées pour recruter les meilleurs talents
Dans la guerre actuelle contre les talents, la puissance de vos techniques d’entretien est un élément essentiel de la réussite de votre équipe. Non seulement ces techniques déterminent la qualité des candidats que vous sélectionnez, mais l’expérience de l’entretien est également importante pour les candidats. LinkedIn rapporte que pour 83 % des candidats, une expérience d’entretien négative a changé leur opinion sur une entreprise. La dernière chose que vous souhaitez, c’est de détourner l’intérêt d’un candidat de premier plan parce qu’il n’a pas apprécié le processus.
Comment faire pour que l’entretien soit positif pour le candidat et qu’il permette de savoir quel candidat est le plus apte à occuper le poste ? Ces six techniques d’entretien éprouvées vous aideront à trouver les membres de l’équipe que vous recherchez.
1. Créez une expérience positive pour le candidat
L’un des aspects les plus importants du processus de sélection dans le monde d’aujourd’hui est de faire en sorte que l’expérience soit positive. Cela vous aidera à attirer les meilleurs talents et à développer ou maintenir la réputation d' »employeur de choix » de votre organisation. Chaque étape du processus peut contribuer à créer cette impression positive, y compris l’offre d’emploi, le premier courriel ou la première conversation téléphonique, les réunions virtuelles ou en personne, l’offre ou le refus.
Notre approche doit nous différencier des autres et être centrée sur le fait que chaque candidat se sente important. Nous devons être professionnels, ouverts, agiles, efficaces et accueillants à chaque étape. Veillez à réfléchir à cet aspect de votre processus. Nous voulons que chaque personne que nous rencontrons ait envie de travailler avec nous et qu’elle parle positivement de notre organisation, même si cela ne fonctionne pas !
2. Entretien structuré
Traditionnellement, l’une des techniques d’entretien les plus populaires dans les grandes organisations était l’entretien structuré. Lors d’un entretien structuré, l’enquêteur pose à chaque candidat les mêmes questions dans le même ordre. Les réponses sont notées de manière à ce que les performances des candidats puissent être facilement classées.
Si la technique de l’entretien structuré permet d’identifier les bons candidats, elle peut paraître froide et impersonnelle, ce qui peut faire fuir ces bons candidats. Nous ne recommandons généralement pas cette approche, mais si vous décidez de l’utiliser, faites de votre mieux pour établir un lien personnel avec chaque candidat.
3. Entretien comportemental
L’entretien comportemental est une technique d’entretien très populaire et efficace. Cette technique repose sur l’affirmation suivante : Le comportement passé est le meilleur indicateur de la réussite future. Dans cette technique, les enquêteurs posent aux candidats une série de questions situationnelles pour les aider à évaluer la manière dont le candidat gère les tâches, les délais et les défis ou problèmes potentiels dans le cadre de son travail. Cette technique aide l’intervieweur à comprendre les besoins et la personnalité du candidat afin qu’il puisse déterminer comment le candidat gère les conflits ou les changements et s’il s’intégrera bien à l’équipe.
Les entretiens comportementaux s’appuient sur des questions demandant aux candidats de donner des exemples et de raconter des histoires. Il peut être difficile pour les candidats de raconter des situations de manière concise, c’est pourquoi cette technique peut nécessiter un peu plus de temps et de patience. Cette technique peut donc nécessiter un peu plus de temps et de patience. Toutefois, elle permet d’obtenir des informations précieuses sur la manière dont un candidat se comporte dans le cadre de son travail et peut contribuer à révéler les meilleurs candidats.
4. Entretien semi-structuré
Avec la technique de l’entretien semi-structuré, l’enquêteur utilisera à la fois des questions préétablies et ordonnées et des questions qui résultent de la conversation avec le candidat. L’avantage de cette technique est qu’elle se prête plus facilement à l’établissement d’une relation chaleureuse et amicale, très prisée par les talents. Comme pour les autres techniques, il est important de tenir compte des objectifs de l’entretien et de veiller à ce que l’entretien atteigne ces objectifs, même dans ses parties non structurées.
5. Affectation de travail ou simulation
Cette technique fait généralement partie du processus de sélection. Elle est souvent citée comme un moyen très efficace de révéler les meilleurs candidats pour le poste parmi les postulants. Comme son nom l’indique, cette technique consiste pour l’intervieweur à assigner une tâche au candidat et à lui demander de l’accomplir. Il peut s’agir de trouver des solutions à un problème ou de rédiger une proposition rapide. Une mission ou un échantillon de travail donne au candidat l’occasion d’essayer le type de tâche qu’il devra accomplir dans le cadre de son travail. Il permet aux deux parties d’évaluer si le candidat est apte à effectuer ce type de tâches.
6. Combinez-les !
À l’adresse KCC, nous recommandons de combiner l’entretien semi-structuré avec des questions comportementales. Une partie de l’entretien devrait comprendre une simulation. N’oubliez pas de demander aux candidats ce qu’ils recherchent. Que veulent-ils en termes de rôle, d’équipe, de patron, d’environnement et de conditions de travail ? Posez toujours des questions sur leurs talents et leurs passions. L’essentiel est de s’assurer que nous présentons l’organisation et l’équipe de manière positive, mais réaliste, et que nous faisons en sorte que l’expérience soit positive et passionnante pour tous les candidats.
Apprenez à mener des entretiens efficaces
Sur KCC, nous comprenons l’importance cruciale de recruter la bonne personne pour le poste. C’est pourquoi notre session de formation sur les techniques d’entretien et de sélection offre des informations clés et des conseils actualisés sur la manière de créer la meilleure expérience d’entretien pour vos candidats et de déterminer s’ils correspondent bien au poste et à votre équipe.
Contactez-nous dès aujourd’hui pour planifier la formation de votre équipe d’entretien afin que vous puissiez faire travailler les meilleurs candidats pour vous.
4 clés pour stimuler la motivation des employés
Dans le moteur de l’entreprise, la motivation est l’accélérateur. Elle détermine l’énergie avec laquelle votre équipe s’attaque aux tâches qui lui sont confiées et son enthousiasme à trouver des solutions aux obstacles qui peuvent survenir au cours d’un projet. Si vous souhaitez que votre équipe aborde son travail avec un niveau élevé d’énergie et d’enthousiasme, il est essentiel de créer une culture d’équipe où la motivation positive prospère pour atteindre cet objectif.
La motivation est également un facteur essentiel de la fidélisation du personnel. Les membres de l’équipe qui ne se sentent pas appréciés, qui sont frustrés ou qui ont l’impression que leur travail n’a pas d’importance quittent souvent leur emploi en faveur d’une nouvelle opportunité. En fait, une enquête récente de McKinsey a révélé que les deux principales raisons pour lesquelles les employés quittent leur emploi sont qu’ils ne se sentent pas appréciés par leur supérieur ou par l’entreprise, ou qu’ils n’ont pas le sentiment d’appartenir à un groupe au travail.
Trouver des moyens de motiver positivement votre équipe peut améliorer la fidélisation et donner au groupe l’énergie nécessaire pour accomplir son travail et réussir. Voici quatre stratégies clés pour stimuler la motivation des employés.
1. Communiquer clairement les objectifs et les priorités
Si votre équipe ne comprend pas et n’adhère pas aux objectifs ou aux tâches prioritaires, il est beaucoup plus difficile pour elle de bien faire son travail et d’avoir confiance en elle. Expliquer ce que vous attendez d’eux et pourquoi c’est important ou comment cela sert les objectifs de l’entreprise ou de l’équipe les aide à comprendre leur rôle dans le processus. Cela les aide également à comprendre l’importance de leur travail et à se sentir valorisés.
Veillez à ce que votre équipe soit informée des changements de priorité. Découvrir qu’ils ont continué à travailler sur un projet retardé au lieu de passer à une tâche plus prioritaire génère de la frustration. En informant votre équipe lorsque les priorités changent, vous lui montrez que vous accordez de l’importance à son temps et à ses efforts.
2. Offrez de la flexibilité lorsque vous le pouvez
En donnant à vos employés la liberté de prendre des décisions concernant leur travail, vous leur offrez autonomie et respect. Par exemple, si un employé est frustré par une procédure ou a du mal à accomplir une tâche, demandez-lui son avis. Que pourrait-il faire différemment pour faciliter l’accomplissement de cette tâche ?
S’il existe des moyens de tenir compte de leurs idées, faites-le. Dans le cas contraire, essayez de trouver un compromis satisfaisant.
Le plus souvent possible, laissez les employés participer à l’accomplissement d’une tâche. Si certains membres de votre équipe ont du mal à être alertes le matin, essayez d’organiser au moins certaines de vos réunions d’équipe plus tard dans la matinée ou l’après-midi.
En donnant la priorité aux besoins de votre équipe et en faisant place à leur créativité pour résoudre les problèmes, vous montrez que vous appréciez les membres de votre équipe et que vous avez confiance en leur capacité à atteindre leurs objectifs. Cela leur permet de s’approprier leur travail et leur donne un sentiment de fierté quant à leur rôle au sein de l’équipe.
3. Reconnaître un travail bien fait
Cela semble facile, et ça l’est ! En outre, cela fonctionne vraiment. Faites l’effort de souligner ce que les membres de votre équipe font de bien. Remarquez leurs efforts et montrez-leur votre reconnaissance. Sur KCC, nous nous référons souvent au chapitre « Catch Them Doing Something Right » de l’ouvrage The One Minute Manager… un vieux classique à notre avis !
La reconnaissance la plus efficace est spécifique et souligne l’effet que le comportement a eu sur l’équipe. Commencez par indiquer ce que le membre de l’équipe a fait. Ensuite, expliquez comment cela a eu un impact positif sur l’équipe ou sur l’expérience d’un client.
Un retour d’information positif régulier est l’un des moyens les plus efficaces de motiver vos employés. Il assure aux membres de l’équipe que leur travail est apprécié à sa juste valeur. La reconnaissance positive leur permet également de savoir ce que vous voulez qu’ils continuent à faire et comment vous voulez qu’ils le fassent. Elle permet à votre équipe d’aborder ses tâches avec confiance.
Vous avez du mal à vous souvenir de ce que vous devez faire ? Essayez d’inscrire un rappel récurrent sur votre calendrier. Vous pouvez également faire en sorte de commencer ou de terminer chaque réunion d’équipe en donnant un feedback positif à quelques personnes de l’équipe.
4. Célébrez les succès en équipe
Une culture d’équipe qui célèbre les succès et partage les compliments permet à votre équipe de se concentrer sur vos objectifs. Elle crée également un environnement qui invite à la coopération plutôt qu’à la compétition.
Pour célébrer facilement les succès, il suffit qu’un membre de l’équipe félicite, lors d’une réunion, un membre qui a atteint un objectif ou franchi une étape importante. Il peut s’agir d’envoyer un petit cadeau lorsque l’équipe a terminé un projet ou respecté un délai. N’hésitez pas à expérimenter et à trouver les expériences qui plaisent à votre équipe. Vous pouvez également dresser une courte liste d’options de célébration et demander à l’équipe de voter pour celle qu’elle trouverait la plus motivante.
La motivation : Un élément essentiel pour la fidélisation des employés
L’une des principales faiblesses des équipes dont le taux de rétention des employés est faible est souvent le manque de motivation et de reconnaissance. La bonne nouvelle, c’est qu’il n’est pas forcément difficile d’y remédier ! Une fois que vous aurez appris à quel point une bonne motivation peut être un outil puissant, son utilisation vous semblera une évidence.
Consultez notre session de formation sur la motivation, la reconnaissance et la fidélisation pour obtenir les meilleurs conseils et stratégies pour motiver votre équipe et augmenter la fidélisation des employés dès maintenant.
Ingrid Kelada et l’équipe KCC
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
5 conseils pour gérer l’énergie et le stress
Quels que soient votre positivisme et votre état d’esprit zen, il est impossible pour chacun d’entre nous de ne jamais être confronté au stress ou à la fatigue. Malheureusement, le stress et la fatigue font partie de la vie. En fait, c’est en partie grâce à eux que les jours où nous avons beaucoup d’énergie ou que nous nous sentons calmes et apaisés sont si merveilleux. La meilleure solution consiste à disposer de stratégies de gestion de l’énergie et du stress dans notre arsenal pour nous aider les jours difficiles. Voici cinq excellents conseils pour la gestion de l’énergie et du stress.
1. S’adapter plutôt qu’éviter
Il peut être tentant d’éviter les situations ou les choix stressants en les reportant le plus longtemps possible. Éviter la tâche la plus difficile de notre liste de choses à faire ou reporter cette réunion avec une personne difficile peut être agréable sur le moment. Mais cela ne fait que nous donner plus de temps pour nous préoccuper de l’événement. Repousser une réunion ou une tâche à la fin de la journée peut également signifier nous demander de nous atteler à cette tâche alors que nos ressources ont déjà été épuisées par d’autres travaux.
Au contraire, utilisez votre rythme énergétique naturel à votre avantage. À quel moment de la journée vous sentez-vous le plus énergique et le plus vif ? Programmez votre tâche ou votre réunion la plus difficile à ce moment-là. Ou bien, programmez-la en début de journée, afin d’en finir rapidement et de passer ensuite à des tâches plus faciles. Sur KCC, nous appelons cela « manger la grenouille »… inspiré par Mark Twain.
2. Planifiez une séance sur le stress
Si vous avez du mal à empêcher les soucis et le stress de s’immiscer dans votre journée, essayez de prévoir un bloc de trente minutes pour vous permettre de vous concentrer sur ce qui vous tracasse. Cela peut sembler contre-intuitif, mais les recherches montrent que cela nous aide à gérer l’anxiété et le stress à d’autres moments de la journée. Cela signifie que nous savons que nous aurons l’occasion de traiter ces pensées et ces inquiétudes à un moment précis.
La tenue d’un journal vous aidera peut-être à quantifier les éléments qui vous causent du stress. La rédaction d’une liste peut également vous aider à identifier des solutions ou des moyens de faire face à certains des facteurs de stress que vous rencontrez.
3. Transpirez
L’exercice physique est un excellent moyen de lutter contre le stress. Il fait bouger notre corps, brûle une partie de l’énergie anxieuse et augmente le flux sanguin vers notre cerveau. Lorsque nous faisons de l’exercice, nous concentrons également certaines parties de notre cerveau sur l’activité physique. Nous nous concentrons sur l’équilibre, la coordination et la respiration. Cela permet à d’autres parties de notre cerveau de se reposer, ce qui peut briser le cycle de la roue de hamster dans lequel nous tombons parfois.
Si vous n’aimez pas faire de l’exercice, essayez de trouver un passe-temps ou un cours actif. Pensez à vous inscrire à un cours de danse, à une équipe sportive locale ou à un programme d’arts martiaux. L’objectif est de faire bouger votre corps tout en vous amusant !
4. Rechercher l’équilibre
Votre équilibre travail-loisir est-il rompu ces derniers temps ? Lorsque nous sommes stressés, il est facile de se retirer des activités récréatives sans s’en rendre compte. Vous vous sentez en manque de loisirs ? Envisagez de prendre une journée ou un après-midi de congé. En donnant à votre corps le temps de se ressourcer et de se détendre, vous augmenterez votre productivité et votre concentration une fois de retour au travail. Même s’il peut être difficile de s’évader, le jeu en vaut la chandelle.
5. Donnez la priorité au sommeil
Selon de nombreux experts du sommeil, les adultes en bonne santé ont besoin d’au moins sept heures de sommeil par nuit. Un sommeil de mauvaise qualité ou un nombre insuffisant d’heures de sommeil peut exacerber le stress et entraîner d’autres problèmes. Le manque de sommeil réduit notre capacité de concentration et notre temps de réaction.
Si vous ne dormez pas assez, réfléchissez aux causes possibles. Avez-vous besoin de commencer une routine de relaxation un peu plus tôt dans la soirée ? Votre espace de sommeil est-il confortable, calme et silencieux ?
En vous reposant suffisamment, vous êtes mieux à même de résoudre les problèmes et de réagir aux changements de la journée. Cela se traduit par des humeurs plus stables et une meilleure concentration. Faire du repos une priorité est un élément essentiel de la gestion de l’énergie et du stress dans notre vie quotidienne.
Vous voulez d’autres conseils ?
L’une de nos sessions de formation les plus dynamiques vise à vous enseigner les stratégies les plus efficaces en matière de gestion de l’énergie et du stress. Apprenez à tirer parti de votre type de personnalité, à vous concentrer sur les solutions et à trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée afin de mieux gérer le stress et d’augmenter votre niveau d’énergie dans votre vie quotidienne. Consultez notre formation sur la gestion de l’énergie et du stress dès maintenant ! Mon livre 21 Days to Happiness contient également quelques chapitres remplis de recherches et de conseils.
Ingrid Kelada et l’équipe KCC
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
Que voulons-nous vraiment savoir ?
Engager un coach pour un ou plusieurs membres de nos dirigeants ou cadres peut s’avérer coûteux, tant en termes de temps que d’argent. Les bénéfices ne sont pas toujours immédiats ou promis, comme lorsque votre organisation investit dans des mises à jour de logiciels ou de matériel. Le coaching peut sembler être un luxe plutôt qu’une nécessité, mais ce point de vue est un peu court. Alors, comment obtenir le meilleur retour sur investissement en engageant un coach exécutif ou de leadership pour nos dirigeants et hauts potentiels, ou mieux encore, comment le considérer comme le cadeau qui ne cesse d’être offert ?
Si nous essayons d’appliquer des mesures quantifiables traditionnelles (telles que celles utilisées pour mesurer les indicateurs de performance clés) aux améliorations ou aux changements dans le comportement humain, cela peut ressembler à essayer de faire entrer une cheville carrée dans un trou rond ! L’accompagnement d’un individu ou d’une équipe peut représenter un investissement important en termes de temps et d’argent, alors comment mesurer le retour sur cet investissement ? Au cours des 20 dernières années, plusieurs études ont été menées par des organisations telles que l’International Coaching Federation (ICF) et d’autres pour répondre à ces questions.
Statistiques et faits
Saviez-vous que…
Dans une étude (International Coaching Federation) portant sur 100 cadres et parties prenantes d’entreprises Fortune 1000 ayant bénéficié d’un coaching de cadres, certaines des principales conclusions sont les suivantes :
- 70 % d’augmentation des performances individuelles (par exemple, une plus grande confiance en soi, la réalisation d’objectifs, l’amélioration des compétences en matière de leadership, etc.)
- Augmentation de 50% de la performance de l’équipe (ex. meilleures relations de travail, communication, collaboration, etc.)
- 48% d’augmentation de la performance organisationnelle (ex. augmentation des revenus, augmentation de l’efficacité, réduction de la rotation, etc.
D’autres indicateurs ont également été examinés et mesurés dans cette étude et dans d’autres études similaires, mais l’essentiel est qu’un coaching efficace des cadres et/ou des dirigeants peut conduire à des améliorations positives et observables des performances individuelles, de l’équipe et de l’organisation.
Quelle est la formule secrète pour tirer le meilleur parti de l’investissement de votre entreprise dans un engagement de coaching de cadres ou de dirigeants ?
- Investissez dans votre personnel : créez et renforcez une culture du coaching dans votre organisation. L’adoption d’un état d’esprit de coaching en tant qu’élément essentiel de la stratégie de votre organisation commence par le sommet ! En dotant tous vos dirigeants de compétences en matière de coaching, vous aiderez chacun à grandir, à s’épanouir, à s’engager davantage et, en fin de compte, à être plus performant.
- S’engager dans l’apprentissage et le développement. Le coaching fonctionne mieux lorsque la ou les personnes coachées sont pleinement engagées, motivées et responsables vis-à-vis du processus, de l’auto-développement et de l’apprentissage. Si l’organisation soutient également le processus, les chances de succès d’un engagement de coaching augmentent considérablement !
- Identifier les objectifs et les buts. Décider des buts/objectifs et de la manière de mesurer les progrès est une partie intégrante et critique du processus de coaching.
- Engagez le bon coach. Non seulement il est important d’engager un coach qualifié et compétent, mais la relation entre le coaché et le coach exécutif est également au cœur d’un engagement de coaching optimal. Une alchimie positive, une confiance totale et une ouverture d’esprit ne sont que quelques-uns des facteurs nécessaires à la réussite d’un engagement de coaching.
Conclusion : L’investissement dans le coaching en vaut la peine !
Les personnes sont au cœur de toutes les organisations. Investir dans le développement d’un individu à haut potentiel, aider quelqu’un à faire la transition vers un nouveau rôle ou travailler avec une équipe pour améliorer la cohésion et la performance peut potentiellement rapporter d’énormes bénéfices à toutes les personnes impliquées. Une organisation qui investit du temps et de l’argent dans le coaching de ses dirigeants pourrait même voir ces effets positifs se propager à d’autres parties de l’organisation en termes de performances globales, d’engagement des employés et de motivation.
Pat Rothenberger
Coach certifié – Formateur – KCC Partenaire
Juillet 2022
5 éléments d’une délégation réussie
La délégation est l’une des compétences les plus importantes que vous puissiez acquérir en tant que dirigeant. Non seulement elle permet de former efficacement votre équipe et de lui donner la maîtrise du travail que vous effectuez ensemble, mais c’est comme si elle vous permettait d’ajouter des heures supplémentaires à votre journée. La délégation vous permet d’accomplir simultanément plusieurs tâches sur votre liste de choses à faire.
Le fait d’envisager de confier des tâches à d’autres membres de l’équipe peut sembler intimidant au premier abord. Cependant, le véritable processus de délégation ne se limite pas à demander à un membre de l’équipe d’ajouter un élément à sa liste de tâches. Une délégation réussie implique cinq étapes essentielles pour garantir que le travail que vous confiez est effectué correctement, dans les délais et sans que vous ayez à y consacrer beaucoup de temps. Voici les cinq éléments clés d’une délégation réussie.
1. Confiez le travail à quelqu’un qui peut le faire.
La première étape de la délégation consiste, bien sûr, à demander à quelqu’un d’autre de faire le travail à votre place. La bonne personne doit avoir du temps dans son emploi du temps. Il n’est pas nécessaire qu’elle sache déjà comment accomplir la tâche. Ce que vous recherchez plutôt, c’est une personne qui a accès aux ressources nécessaires pour effectuer le travail. Il se peut qu’elle ait d’abord besoin d’une formation ou d’un accompagnement, alors prévoyez ce temps dans votre plan. Si la formation prend peu de temps et que la tâche est récurrente, prendre le temps de mettre l’employé à niveau constitue un excellent investissement.
Essayez de ne pas trop stresser à cette étape du processus. Considérez la délégation comme un cadeau offert à un membre de votre équipe. Vous lui offrez la possibilité d’accroître ses compétences et d’améliorer sa valeur au sein de l’équipe.
2. Communiquer des conditions précises de satisfaction.
L’une des raisons pour lesquelles les gens hésitent à déléguer leur travail est la crainte que la tâche soit mal exécutée ou qu’elle reste inachevée. La meilleure façon de lutter contre ce problème est de communiquer clairement les attentes. Veillez à préciser le délai, le budget, le contexte, les résultats attendus et toute circonstance particulière. Demandez à votre coéquipier de vous résumer ce qu’il a entendu de votre part. Cela permet de s’assurer que vous avez communiqué vos besoins de manière efficace et qu’ils se sentent en confiance.
Veillez également à clarifier la manière dont vous souhaitez tous deux traiter les questions qu’ils pourraient avoir à propos de la tâche. Voulez-vous qu’ils vous posent ces questions ? En personne ? Par courrier électronique ? Y a-t-il dans l’équipe une autre personne compétente qui pourrait également être une bonne ressource si vous n’êtes pas disponible pour répondre aux questions ?
Il est également souhaitable de mettre toutes ces attentes par écrit. Ainsi, vous pourrez tous deux vous référer au document ou à l’e-mail et voir précisément ce qui a été discuté. Il peut être difficile de se fier uniquement à sa mémoire, surtout lorsque l’on jongle avec de nombreuses autres tâches ou projets.
3. Élaborez un plan.
Si le projet ou la tâche que vous déléguez est simple, cette étape peut être très facile. S’il s’agit d’un processus en plusieurs étapes, vous devrez peut-être passer un peu plus de temps à décomposer le projet en étapes.
Dans la mesure du possible, demandez à votre employé d’élaborer le plan du projet. Il vous surprendra peut-être par son ingéniosité, et le fait d’élaborer une stratégie renforce l’adhésion des employés, ce dont nous parlerons plus en détail dans une minute.
4. Obtenez l’adhésion.
Un élément essentiel de la délégation, mais souvent négligé, est l’adhésion des employés. Votre coéquipier pense-t-il qu’il est possible d’accomplir la tâche avec les informations que vous lui avez données ? Le délai lui semble-t-il raisonnable ?
À première vue, ces considérations peuvent sembler sans importance. Après tout, les délais sont parfois fixés en fonction des besoins du client. En demandant à l’employé s’il dispose de tout ce dont il a besoin pour continuer, vous renforcez votre communication avec lui. Et en posant la question « Pouvez-vous terminer ce travail d’ici vendredi ? », vous donnez à l’employé l’occasion de faire part de ses préoccupations concernant le calendrier.
5. Mettez en place une structure de responsabilisation.
Tenez compte de la durée et de la complexité du projet. Décidez à quelle fréquence et sous quelle forme vous souhaitez être informé de l’avancement de la tâche. Il peut s’agir simplement d’ajouter une vérification à une réunion hebdomadaire déjà programmée. Vous préférerez peut-être recevoir des mises à jour par courrier électronique ou des rapports d’avancement. Si le projet est complexe ou sensible, une réunion personnelle peut s’avérer plus efficace.
Quoi qu’il en soit, décidez ensemble du format sous lequel vous suivrez les progrès. Effectuez un suivi auprès d’eux de la manière et au moment convenus. Lorsque les employés savent que vous prenez au sérieux les systèmes de responsabilisation que vous avez mis en place, ils sont beaucoup plus enclins à répondre à ces attentes.
Devenez un pro de la délégation.
Il n’y a jamais assez d’heures dans une journée pour accomplir toutes les tâches que nous voulons, c’est pourquoi la délégation est un outil si puissant. Sur KCC, nous avons une session de formation entière axée sur le développement des employés par le biais de la délégation. Cette session vous enseigne les étapes clés pour responsabiliser et développer efficacement vos employés.
Consultez notre formation sur le développement des employés par la délégation et obtenez les meilleures pratiques et conseils pour améliorer l’efficacité et la réussite de votre équipe.
Si vous préférez, nous pouvons vous coacher, vous ou vos employés. Nous disposons d’une équipe de coachs certifiés ICF prêts à vous aider. Vous pouvez réserver un appel d’exploration gratuit ici pour plus d’informations.
Ingrid Kelada et l’équipe KCC
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
5 conseils pour un coaching réussi
Le coaching est l’une des méthodes les plus efficaces que les dirigeants peuvent utiliser pour améliorer les performances et l’engagement des employés. Non seulement il aide l’individu à se développer et à s’épanouir, mais il montre que nous sommes prêts à investir en lui et que nous croyons en son potentiel.
Un coaching efficace permet aux employés d’être plus compétents, de travailler de manière plus autonome, de produire un travail de meilleure qualité et d’être plus motivés. Un coaching réussi augmente également les performances et les capacités de l’équipe dans son ensemble. Voici cinq excellents conseils pour un coaching réussi.
1. Donnez d’abord aux membres de l’équipe la possibilité de s’auto-évaluer.
Avant de donner votre avis, donnez toujours aux membres de l’équipe l’occasion de s’auto-évaluer. Encourager l’auto-évaluation est utile à plusieurs égards. Tout d’abord, cela encourage l’amélioration même lorsque vous n’êtes pas en train de coacher. Cela vous permet également de déterminer pourquoi l’employé n’est pas aussi performant qu’il le souhaiterait. Par exemple, elle peut révéler qu’il ne sait pas qu’il fait quelque chose de manière incorrecte.
Les auto-évaluations aident également les membres de l’équipe à renforcer leur estime de soi. Elles renforcent l’idée que vous, en tant que manager ou chef, les écoutez, appréciez leurs points de vue et les considérez comme une partie importante de votre équipe. Elle augmente également les chances que les comportements problématiques changent.
Si un employé n’identifie pas les domaines que vous avez identifiés (ou les identifie de manière incorrecte), posez-lui des questions de plus en plus précises pour lui permettre de s’auto-évaluer, si possible. Vous pourrez ainsi déterminer si l’employé ne sait pas ce que l’on attend de lui, s’il n’a pas les compétences requises ou s’il choisit simplement de ne pas les démontrer.
Avant de passer à d’autres parties de votre session de coaching, assurez-vous de renforcer l’auto-évaluation correcte. Reportez ou redirigez les auto-évaluations inappropriées ou incorrectes.
2. Ensuite, utilisez des outils d’évaluation.
Il existe différents types d’outils d’évaluation que vous pouvez utiliser pour obtenir encore plus d’informations sur la personne. Ses zones de talent, ses opportunités de développement, ses angles morts et son potentiel caché. Vous pouvez utiliser des questionnaires psychométriques, des évaluations de potentiel ou des outils de feed-back à 360°. Lorsque vous utilisez un outil d’évaluation en plus de l’auto-évaluation et de vos propres observations, vous ajoutez de l’objectivité et des informations plus détaillées pour vous aider à identifier les priorités et les prochaines étapes. Chez KCC, les évaluations sont l’une de nos spécialités, nous les appelons « radiographies ».
3. Limitez le champ d’action.
Lors des séances de coaching, il est préférable de se concentrer sur environ deux points forts qui peuvent être exploités et sur environ deux domaines à développer. Il est essentiel de limiter la discussion pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, le fait de se concentrer sur deux domaines de développement seulement permet de s’assurer que le membre de l’équipe atteint le niveau de compétence requis. L’adoption de nouvelles procédures ou la rupture avec des schémas erronés est un processus difficile. Ajouter trop de changements à la liste de tâches d’un membre de l’équipe en une seule fois risque de provoquer plus de frustration et de confusion que de succès.
Il est préférable de commencer par les deux domaines d’amélioration les plus importants et de se concentrer sur eux pour renforcer la réussite et la confiance. Une fois que ces domaines ont été améliorés, vous disposez d’un bilan positif de l’amélioration, ce qui dynamisera votre membre de l’équipe et l’encouragera à continuer d’accroître ses compétences. Une fois ces progrès réalisés, vous pouvez introduire deux nouveaux domaines d’amélioration.
4. Commencez et terminez par des commentaires positifs.
La façon dont vous entamez la conversation donne le ton de ce qui va suivre. Commencer par des points positifs est motivant et aide à mettre les membres de l’équipe dans un bon état d’esprit. Cela renforce les bons comportements que nous voulons que les membres de l’équipe continuent ou augmentent, et cela permet de faciliter la session de coaching. Elle contribue également à renforcer l’estime de soi. Faites savoir aux gens quels changements positifs vous avez remarqués et félicitez-les pour leurs efforts.
Lorsque nous sommes dans un état d’esprit positif, nous sommes tous plus ouverts au changement. Au cours de la séance de coaching, une discussion concrète sur les domaines à développer, avec des exemples concrets, permet de s’assurer que les membres de l’équipe se concentrent sur ces domaines. Terminez la réunion en leur faisant savoir que vous croyez en eux et que vous êtes à leur disposition s’ils ont besoin de soutien.
5. Le coaching ne remplace pas la correction.
Le coaching ne doit pas être utilisé comme une version plus douce de l’action corrective ; en cas de problème de performance, prenez le temps de résoudre le problème. Si un problème de performance survient, prenez le temps de le résoudre. Le fait de ne pas traiter les problèmes ou de mal les traiter peut avoir un impact négatif sur les autres membres de l’équipe. Il est difficile de continuer à faire de son mieux lorsqu’un autre membre de l’équipe reçoit la même récompense ou les mêmes éloges pour un travail médiocre. Veillez à aborder les problèmes de performance par d’autres méthodes que le coaching.
Ajoutez le pouvoir d’un coaching efficace à votre ensemble de compétences en matière de leadership ou laissez-nous vous aider.
Êtes-vous enthousiasmé par le pouvoir qu’un coaching efficace peut apporter à votre équipe ? Sur KCC, nous proposons une session de formation complète sur la manière d’être un coach très efficace pour votre équipe afin d’améliorer ses compétences et sa capacité à travailler de manière indépendante. Le coaching de notre équipe est bénéfique pour tout le monde… il aide les gens à mieux contribuer et il est gratifiant et motivant. Nous coachons souvent de manière intuitive, comme nous aimons être coachés, mais les styles d’apprentissage et les attentes sont différents. Cet atelier vous donne des outils et des méthodes pour adapter votre approche du coaching avec un minimum d’effort et un maximum de résultats.
Consultez notre formation sur les principes d’un coaching efficace et découvrez les meilleures pratiques et les conseils pour améliorer l’efficacité et la réussite de votre équipe.
Si vous préférez, nous pouvons vous coacher, vous ou vos employés. Nous disposons d’une équipe de coachs certifiés ICF prêts à vous aider. Vous pouvez réserver un appel d’exploration gratuit ici pour plus d’informations.
Ingrid Kelada et l’équipe KCC
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
5 excellents conseils pour la gestion du temps et des priorités
Une gestion efficace du temps et des priorités peut faire une énorme différence dans notre efficacité et notre capacité à atteindre des objectifs cruciaux. Le fait d’assumer trop de tâches ou de ne pas avoir d’objectifs clairement définis peut nuire à la productivité. Identifier vos objectifs et limiter votre liste quotidienne de choses à faire peut vous aider à accomplir vos tâches de manière plus ciblée et plus efficace. En décidant quelles tâches peuvent être déléguées ou reportées, vous vous assurez de consacrer l’essentiel de votre temps aux choses que vous devez faire aujourd’hui.
La gestion du temps consiste à travailler plus intelligemment plutôt que plus durement. Il s’agit d’être occupé pour les bonnes raisons afin de pouvoir se reposer et se détendre à la fin de la journée. La gestion des priorités consiste à décider quelles sont les tâches les plus urgentes et les plus importantes, qui requièrent vos compétences spécifiques, et quelles sont celles qui peuvent attendre ou être déléguées à un autre membre de l’équipe. Une bonne compréhension de ces deux techniques vous aidera à atteindre vos objectifs et à trouver l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée que nous recherchons tous.
Voici 5 conseils pour améliorer vos compétences en matière de gestion du temps et des priorités dès aujourd’hui.
1. Identifiez vos objectifs
Si vous ne savez pas où vous allez, vous n’y arriverez probablement jamais, n’est-ce pas ? Quel que soit votre secteur d’activité, votre entreprise et votre équipe doivent avoir des objectifs quantifiables écrits et communiqués à tous les membres de l’équipe. Lorsque vous comprendrez comment votre rôle s’inscrit dans les objectifs de l’entreprise, vous saurez comment être le plus efficace possible à votre poste au sein de l’organisation.
2. Fixez des limites raisonnables à vos tâches quotidiennes en choisissant vos grenouilles !
Combien de tâches pouvez-vous raisonnablement accomplir en une journée ? Cela dépend en grande partie du type d’emploi que vous occupez et de votre capacité à gérer les interruptions. Si vous ne le faites pas déjà, rédigez chaque matin une liste de tâches à accomplir, en y inscrivant quelques tâches (pas plus de cinq) que vous souhaitez réaliser dans la journée. Sur KCC, nous appelons cela vos « grenouilles ».
Faites une petite analyse. En moyenne, combien de tâches accomplissez-vous en une seule journée ? Y a-t-il des jours où vous accomplissez systématiquement plus ou moins de tâches ? Peut-être que les lundis sont des jours très chargés en réunions et que vous n’arrivez à faire qu’une ou deux autres choses, mais vous remarquez que les mercredis sont vos jours les plus productifs et que vous arrivez à faire 4 ou 5 choses.
Ajustez vos limites en fonction de vos propres données. Si vous ne cochez que rarement, voire jamais, plus de quatre éléments de votre liste de tâches en une journée, fixez-vous une nouvelle limite en vous engageant à ne réaliser que quatre tâches par jour. Cela vous aidera à réduire votre niveau de stress et à fixer des objectifs et des délais réalistes pour vous-même et votre équipe.
3. S’attaquer d’abord aux tâches les plus urgentes et les plus importantes
Lorsque vous examinez vos objectifs et les tâches qui vous sont assignées pour le mois, la semaine et la journée, classez-les en fonction de leur degré d’urgence et de leur importance. Il existe de nombreuses façons de procéder. Une méthode simple qui ne prend que quelques minutes s’appelle la matrice d’Eisenhower, qui vous aide à trier et à hiérarchiser les tâches en fonction de leur urgence et de leur importance. Cette méthode vous aide également à identifier les tâches à reporter à plus tard et celles à déléguer ou à éliminer.
4. Déléguer, renvoyer, éliminer et programmer
Lorsque vous examinez vos objectifs et vos tâches pour la journée, gardez à l’esprit les éléments qui peuvent être reportés à plus tard (notez-les sur un calendrier hebdomadaire ou mensuel afin de ne pas les oublier) et ceux qui peuvent être confiés à quelqu’un d’autre ou éliminés.
Comment décidez-vous ? En général, si une tâche est importante mais pas urgente, c’est qu’elle peut être reportée à plus tard. Recherchez sur votre liste les tâches qui sont urgentes mais pas importantes, en particulier celles qui ne requièrent pas de compétences particulières de votre part. Si vous le pouvez, déléguez ou confiez ces tâches à quelqu’un d’autre afin de pouvoir vous concentrer sur les tâches prioritaires que vous êtes le seul à pouvoir traiter. Souvenez-vous du principe 20/80. 20 % de ce que nous faisons contribue à 80 % de nos résultats…
5. Donnez la priorité à votre croissance
Si vous cherchez à améliorer votre gestion du temps et des priorités, ajoutez notre formation sur la gestion du temps et des priorités à votre liste de tâches ! Cette session vous donne l’occasion d’examiner vos habitudes actuelles et votre style personnel et vous propose des solutions actualisées, simples et pratiques qui vous feront gagner de précieuses heures. Consultez notre formation sur la gestion du temps et des priorités et obtenez les meilleures pratiques et conseils pour rendre votre temps de travail efficace et productif afin d’atteindre vos objectifs et de trouver un équilibre entre travail et loisirs.
Ingrid Kelada
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
Prenez un nouveau départ avec ces conseils pour gérer une équipe hybride
La nouvelle année est le moment idéal pour prendre un nouveau départ et mettre à jour vos compétences en matière de gestion d’une équipe hybride. Vous avez peut-être des pratiques qui convenaient à votre équipe et qui ne fonctionnent tout simplement plus aujourd’hui. Nous vivons dans un monde nouveau où les employés peuvent être à la maison, au bureau ou dans une combinaison des deux.
De temps en temps, nous avons tous besoin de réévaluer nos performances et de changer ce que nous faisons pour relever de nouveaux défis et saisir de nouvelles opportunités. Le passage à une nouvelle année est le moment idéal pour rafraîchir notre approche de la gestion avec de nouvelles stratégies pour les équipes agiles d’aujourd’hui. Voici 4 conseils pour améliorer votre efficacité en tant que leader et vous aider à gérer une équipe hybride.
1. La communication est essentielle
Que votre équipe travaille sur place ou à distance, l’un des meilleurs moyens de maintenir une équipe cohérente et productive est de communiquer clairement la manière dont vous souhaitez que les choses fonctionnent. Assurez-vous que vos préférences sont claires en ce qui concerne les types de problèmes ou de communications qui doivent être traités par courrier électronique plutôt que par une réunion. Veillez à ce que votre équipe comprenne quels sont les projets prioritaires, ainsi que toute modification de la portée ou du délai du travail de votre équipe.
Certains chefs d’équipe hybrides ont choisi d’organiser des réunions quotidiennes au début de chaque journée. Bien que cette approche ne convienne pas à toutes les équipes, prêtez attention aux besoins de votre équipe. Alors que les personnalités extraverties sont stimulées par le fait de passer du temps ensemble (même virtuellement), les travailleurs introvertis peuvent trouver qu’un trop grand nombre de réunions perturbe et entrave le flux de travail.
Une approche de la gestion d’une équipe hybride qui favorise une communication claire consiste à établir un ordre du jour pour chaque réunion et à l’envoyer à l’avance. Si les membres de votre équipe examinent l’ordre du jour et déterminent qu’ils n’ont pas besoin d’y assister, ils peuvent sauter certaines réunions et continuer à travailler.
2. Combattre les préjugés naturels
L’un des problèmes rencontrés par les équipes hybrides et leurs dirigeants est un préjugé naturel à l’égard des membres qui travaillent sur le campus. C’est un peu comme l’expression « loin des yeux, loin du cœur ». Nous pensons naturellement que les membres de l’équipe qui sont au bureau (que nous pouvons voir travailler) sont plus productifs que les membres de l’équipe qui travaillent à distance, alors que ce n’est probablement pas vrai. Gérer efficacement une équipe hybride signifie que vous devrez vous efforcer de corriger ce déséquilibre naturel en vous connectant avec les membres de votre équipe à distance.
Organisez régulièrement des appels individuels ou des chats vidéo pour faire brièvement le point avec eux. S’assurer qu’ils disposent de ce dont ils ont besoin peut contribuer grandement à ce que les membres de l’équipe se sentent soutenus et valorisés. Cela permet également de garder à l’esprit leur contribution à l’ensemble de l’équipe lorsque vous dirigez.
3. Créer des connexions
Les dirigeants font bien plus que mener un projet à son terme dans un délai précis. Ils sont chargés de trouver des moyens de rassembler une équipe de personnes de manière à ce que la somme résultante soit supérieure à ses parties. L’un des principaux moyens de maintenir la qualité de « plus grande somme » d’un groupe est de continuer à favoriser les relations au sein de l’équipe, en particulier entre les membres sur le campus et les membres éloignés.
Certains dirigeants ont trouvé efficace de programmer des happy hours ou des déjeuners d’équipe virtuels. D’autres ont essayé de trouver des moyens de transposer dans la sphère virtuelle l’effet de remue-méninges et de résolution de problèmes des discussions autour de la fontaine. N’ayez pas peur de sortir des sentiers battus et d’essayer de nouvelles choses pour ajouter du plaisir au mélange. Si vous essayez quelque chose qui ne convient pas à votre équipe, laissez tomber et essayez l’idée suivante. Lorsque vous aurez trouvé ce qui fonctionne, les récompenses seront à la hauteur des efforts que vous aurez déployés pour cultiver ces relations.
4. Prenez le temps d’apprendre cette année
Alors que vous mettez à jour vos meilleures pratiques cette année, prenez le temps de vous informer sur les dernières recherches et les nouvelles approches en matière de gestion. Apprenez de nouveaux outils pour résoudre les conflits sur le lieu de travail, comment améliorer la fidélisation des employés ou comment adapter votre style de management aux besoins de votre équipe. Consultez notre atelier sur la constitution d’équipes efficaces et obtenez des informations sur les meilleures pratiques et des conseils pour utiliser pleinement les compétences, les styles et les talents de votre équipe.
Ingrid Kelada
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
3 conseils pour éviter le stress des fêtes et célébrer ce qui est important
Parfois, l’excitation d’avoir du temps libre, d’être avec les amis et la famille, de partager nos plats et boissons préférés et de créer des souvenirs spéciaux peut se perdre dans le stress des fêtes de fin d’année et de la préparation de chaque événement.
Que pouvons-nous faire pour minimiser le stress et maximiser le bonheur pendant les fêtes de fin d’année ? Voici trois conseils pour augmenter votre joie et être plus « zen » pendant les fêtes.
1. Autorisez-vous à mettre à jour vos plans.
Si vous redoutez un événement ou un aspect particulier des vacances, prenez le temps de vous arrêter et d’en examiner les raisons. Redoutez-vous un événement particulier parce qu’il est situé dans un endroit difficile d’accès ? Vous sentez-vous dépassé par le nombre de choses qui encombrent votre calendrier et souhaiteriez-vous vraiment faire une pause dans cette agitation ?
Prenez le temps de comprendre les causes du stress lié aux fêtes de fin d’année. Une fois que vous avez compris de quoi il s’agit, posez-vous quelques questions :
Que se passera-t-il si vous ne participez pas à cet événement ? Est-il indispensable que vous y assistiez ? Pourriez-vous faire une apparition pendant une heure, puis vous excuser gracieusement ? S’il s’agit d’un petit événement que vous avez organisé, pouvez-vous le reporter à la fin de la période des fêtes, lorsque vous pourrez en profiter davantage ?
2. Inscrivez vos traditions de vacances préférées sur votre calendrier.
Prenez quelques minutes pour réfléchir à vos moments de vacances préférés. Y a-t-il une activité spécifique que vous préférez ? Aimez-vous mettre de la musique de Noël et décorer un arbre ? Y a-t-il une friandise ou un repas de fête que vous préférez ? Un film ou une émission de Noël que vous attendez avec impatience ? Dressez la liste de vos deux ou trois traditions de vacances préférées et inscrivez-les dès maintenant sur votre calendrier. Vous pouvez envisager de les programmer de manière à avoir quelque chose de spécial à attendre avec impatience le lendemain de quelque chose que vous n’êtes pas aussi enthousiaste à l’idée de faire, ou comme une pause au milieu d’une semaine qui sera certainement très chargée.
En inscrivant les choses qui vous tiennent à cœur sur le calendrier, vous vous assurez de ne pas arriver à la fin de la période des fêtes avec l’impression d’avoir manqué les choses qui comptent pour vous.
3. Trouvez des moyens simples de donner.
Donner pendant les fêtes nous aide à capturer la joie en la répandant. Il nous aide également à être reconnaissants des choses que nous avons. Parfois, cette joie et cette gratitude sont exactement ce dont nous avons besoin pour nous sortir du stress des fêtes et nous ramener à un endroit où nous pouvons apprécier et célébrer cette période spéciale de l’année.
Les fêtes de fin d’année regorgent d’occasions de donner, qu’il s’agisse de seaux de dons à l’extérieur des grands magasins, de collectes de jouets ou de la possibilité d’offrir un repas de fête à une famille dans le besoin. Vous pouvez découvrir qu’une personne de votre communauté ou de votre famille a besoin d’aide pour quelque chose de spécifique. Peut-être achetez-vous simplement un café pour la personne qui se trouve derrière vous dans la file d’attente du café.
Joyeuses fêtes de fin d’année sur KCC!
Offrez le bonheur en cadeau ! Si vous souhaitez partager des outils et des conseils pour accroître le bonheur, pourquoi ne pas offrir mon livre 21 jours de bonheur ? Vous le trouverez ici sur Amazon en 3 formats, livre de poche, livre audio ou ebook.
Quels que soient vos projets pour les fêtes de fin d’année, nous vous souhaitons, à vous et à vos proches, de bonnes vacances, en toute sécurité et en bonne santé ! Si nous pouvons vous aider à répondre à vos besoins professionnels, n’hésitez pas à nous contacter dès aujourd’hui.
Ingrid Kelada et l’équipe de KCC!
Propriétaire de KCC Psychologie positive organisationnelle & Expert en bonheur
Permettez-moi de vous parler d’un sujet dont j’ai beaucoup parlé ces derniers temps dans le cadre de mes activités de coaching ; un sujet qui est très courant dans la vie réelle. Depuis un an environ, le temps passé avec mes propres pensées a augmenté, comme pour beaucoup d’entre nous, offrant de nombreuses occasions de bonnes conversations avec moi-même… conscientes ou inconscientes. Cette conversation intérieure définit, que nous le voulions ou non, qui nous sommes. Je parle de cette petite voix intérieure qui nous chuchote constamment à l’oreille, façonnant nos pensées et donc nos actions. Cette voix peut nous inspirer, mais elle peut aussi nous écraser. Dans ces moments de doute, je me force à faire une pause pour faire deux choses :
1- Prendre conscience de la discussion qui se déroule dans ma tête
2- Reprendre le contrôle de la discussion en modifiant le dialogue à mon avantage…
Je vous entends déjà dire : « Jean-François, ce n’est pas si simple. Je peux changer le dialogue, mais si je ne crois pas à ce que je me dis… ». Vous avez tout à fait raison. Croyez-vous que Mohammed Ali ait cru à son affirmation « Je suis le plus grand » les premières fois qu’il se l’est dite ? Probablement pas. Mais au fur et à mesure qu’il se la répétait, il a pris les mesures nécessaires pour faire de cette affirmation une réalité et a commencé à y croire sans l’ombre d’un doute. Il a saisi des opportunités qu’il n’aurait peut-être pas envisagées autrement. Cela nous amène à l’étape 3 :
3- Appliquez/répétez ce nouveau dialogue quotidiennement afin d’aligner vos actions sur lui et d’y croire ainsi de plus en plus chaque jour.
J’ai récemment vu sur Facebook un texte intéressant qui illustre cette reprise en main de notre dialogue intérieur, ou plutôt ce recadrage.
Si un jour vous vous dites cela :
Je suis un grand perdant
Personne n’osera penser que
Je peux accomplir de grandes choses
Je sais que
J’échouerai dans tout ce que je ferai
Je ne crois plus que
Je peux réussir
Je ne vaux rien
J’ai arrêté de me dire que
J’ai confiance en moi
Je suis convaincu d’une chose
Je suis inutile
et il serait stupide de penser que
Je suis une belle personne
Relisez-le donc, mais en partant du bas de l’échelle.
Rappelez-vous : Conscience = Pouvoir. Si je perçois ce dialogue intérieur et que je prends conscience qu’il me limite, j’ai le pouvoir de le changer. C’est à vous de décider comment vous allez le faire. Que ce soit par une affirmation que vous créez pour vous-même, une citation ou un texte auquel vous vous identifiez. Allez-y, essayez plusieurs options et voyez ce qui vous inspire.
Je vous laisse avec un petit texte qui me sert dans les moments où je veux changer mon dialogue intérieur. Il s’agit d’un texte de Marianne Williamson qui m’a inspiré tout au long des années.
« Notre peur la plus profonde n’est pas de ne pas être à la hauteur. Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toute limite. C’est notre lumière, et non notre obscurité, qui nous effraie le plus. (…) Nous restreindre et nous considérer comme petits ne rend pas service au monde. (…) Nous sommes tous nés pour briller, comme les enfants. (…) En laissant briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même. En nous libérant de nos propres peurs, notre présence libère automatiquement les autres ».
Ayez une bonne conversation avec vous-même. 😊
Jean-François Drouin
Coach certifié – Formateur – KCC Partenaire
Novembre 2021